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« Le jagüey et autres récits », des nouvelles ancrées dans la réalité

Le jagüey, c’est un arbre étrange, vénéré par les uns (en Inde) et symbole du péché pour les autres (à Cuba). Pour l’auteur, c’est un symbole de la globalisation qui constitue une sorte de fil d’Ariane reliant, aux quatre coins de la terre, des personnes aux prises avec les problèmes qui caractérisent notre époque. Dans « Le jagüey et autres récits », chacune des 20 nouvelles – qui se distinguent par leur originalité et leur ouverture sur le monde – nous propose une fiction littéraire profondément ancrée dans la réalité de la vie contemporaine.

Et si on parlait de Nazar ?

Nazar est un ensemble de dix-neuf nouvelles qui reflètent les problèmes de la société actuelle et qui nous interpellent sur les menaces de la globalisation. Dans ce monde en pleine mutation, les frontières sont de plus en plus floues entre vérité et illusion, entre bien et mal, amour et consommation, victime et bourreau. Nazar, mot emprunté à la langue turque, c’est un talisman qui protège les hommes du mal, surtout de la jalousie, et les protège aussi d’eux-mêmes. Nazar, titre d’une nouvelle où s’entrecroisent les destins dramatiques de migrants, apparaît comme un message universel porteur d’espoir et de lendemains meilleurs.

Merapi et autres nouvelles

Son dernier livre Merapi contient seize nouvelles qui nous plongent au cœur de l’actualité sociopolitique. Les héros, des gens ordinaires, se voient confrontés dans leur quête du bonheur à des choix et des situations inattendues. Des histoires de rêves, de passions, de traumatismes, de tensions poussées à l’extrême qui nous font entrevoir une part de vérité sur les valeurs de notre société et sur nous-mêmes. Style enlevé, action rapide, humour et ironie emmènent le lecteur d’un seul trait jusqu’à la fin, l’invitant ensuite à une réflexion plus approfondie.

Merapi, c’est le nom d’un volcan indonésien dont les éruptions ont causé des centaines des morts dans la population locale. Dans le même temps, il a contribué à améliorer les conditions de vie des survivants en fertilisant les terres. Certains indigènes considèrent Merapi comme un dieu et d’autres comme une malédiction.